15.05.1915
Souci d’argent
« Je t’en prie gardes ton argent. »
Je te remercie du plus profond de mon coeur de tout ton dévouement à mon égard et je voudrais pouvoir te remercier de vive voix et t’épargner toute la peine que tu dois prendre care je vois d’ici l’aspect de nos pauvre campagne chaque fois que l’on cause entre camarades les larmes m’en viennent aux yeux. Je t’en prie gardes ton argent. J’en ais moins besoin que toi.